Le député s’est rendu au ministère de l’éducation où avec les collaborateurs de madame la ministre d’état, ils ont convenu des modalités législatives qui seront nécessaires à l’adoption de la réforme de l’enseignement primaire. Une réforme de cette ampleur doit passer au parlement. Ce sera chose faite pour la fin de la concession entre l’Etat et la mission catholique. Le texte doit d’abord être validé par le Conseil supérieur de la fonction publique et par le Conseil d’Etat. Le projet de loi d’habilitation des ordonnances sera alors présenté au Sénat le 19 mai par madame la sénatrice de la Réunion. Il sera étudié en commission par l’Assemblée nationale le 21 mai et arrivera dans l’hémicycle la 26 mai, où il sera défendu par Mikaele Seo.
Le député a défendu devant les collaborateurs de la ministre la situation des dix enseignants qui ne sont pas titulaires du baccalauréat argumentant qu’ils avaient acquis des diplômes supérieurs et qu’il convenait donc de les considérer à l’identique de leurs collègues. Il a également insisté sur la revalorisation de la grille salariale.